coupure du mot, certains typographes conseillent, la composition en trois lignes de texte, coupées convenablement et, justifiées au milieu :
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13. Si la longueur du texte exige trois lignes ou plus de composition, on adopte pour l’arrangement la disposition proprement dite « sommaire » : la première ligne de composition remplit entièrement la justification ; chacune des lignes suivantes, quel qu’en soit le nombre, est rentrée sur la première de 1 ou plusieurs cadratins selon la justification :
C’est la méthode classique, exigée par tous les manuels.
La coupure, ou division, des mots a lieu d’après les règles ordinaires de la composition.
Les moins, ou tirets, séparant les diverses énumérations du sommaire, sont placés, au cours de la composition, suivant leur rencontre dans le texte, soit au début, soit à la fin de la justification.
Une ponctuation finale, celle demandée par le sens du texte, figure toujours en fin du sommaire.
14. Toutefois, dans certains cas, pour alléger un peu la lourdeur du sommaire classique, lorsque le texte ne comporte que trois lignes de composition, certains compositeurs conservent la disposition du sommaire brisé (ou de trois lignes au milieu) :
Toux nerveuse. — Insomnies
Étouffements. — Migraines. — Bégaiement
Comme dans le sommaire de deux lignes, aucune division ou coupure des mots n’est acceptée ; les tirets ou moins ne peuvent, figurer au début ou en fin de ligne ; en outre, le point final n’est pas employé là où