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Le livre de ma vie, en de nombreuses pages,
Atteste les bienfaits que tu nous as valus ;
Tu m’admis à siéger dans tes aéropages,
Parmi ceux de tes fils qui t’honorent le plus.
Voici l’heure où se joue, hélas ! ta destinée ;
De mes bras défaillants comment te secourir ?
Terre de ma patrie, ô mère infortunée,
Te revoir libre enfin, vivre libre ou mourir !
1915.
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