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La main de ma mère

Ô la douce main de ma mère
Toi qui me berçais chaque soir
Et qui guidais avec mystère,
Mes premiers pas tout pleins d’espoir ;
Main qui ne fuyais point la peine
Et qui veillais souvent, la nuit,
Pour finir le tricot de laine…
Ô main qui travaillais sans bruit.