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Page:Bruchesi - Coups d'ailes, 1922.djvu/12

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coups d’ailes


Ô main qui fus mes seules armes
Contre la douleur et l’effroi,
Qui séchas mes premières larmes ;
Main qui ne craignis que pour moi ;
Toi qui cherchas toujours à plaire,
Ô main plus pure que les lys,
Ô petite main de ma mère,
Je t’aime encor comme jadis !