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tard et du capitaine Decazes, de 1892 à 1894, se réunissent le M’Bomou et l’Ouellé Makoua. Cette dernière rivière est bien, quoi qu’aient pu dire les Belges, la vrai branche-mère de l’Oubangui ; son cours est plus long au moins de un tiers, et le volume d’eau qu’elle débite est aussi bien supérieur. L’Ouellé Makoua est la voie de pénétration qui a permis aux Belges d’arriver jusqu’à Lado, sur le Nil, mais leurs transports jusqu’à Djabbir se font non par l’Oubangui mais par le Congo et le Roubi, qu’ils remontent jusqu’à Ibembo.
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