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ge à faire expliquer les Dieux encore une fois.
Ils fe font expliqués. L’Oracle est éclairci. Ne suis-je pas le monstre & l'Impie qu’il faut exterminer.
I1 n’est que trop vrai, Seigneur; Mais votre situation & la mienne exigent que j’interroge encore les Dieux.
Les croiriez-vous, du moins en faveur de ce malheureux ?
Vos malheurs ne nous montrent que trop qu’il faut les croire.
Écoutez-moi, Seigneur: l'unique grâce que je désire, & que je vous conjure de ne me pas refuser, c’est de rendre les derniers devoirs à cette Princesse infortunée, dont le corps est étendu dans le Palais. Hélas ! c’est votre sœur. La justice & la tendresse, tout l’exige de vous. Pour moi, opprobre de ma patrie, je ne dois plus habiter ces lieux, tant que durera le reste de mes déplorables jours. Laissez-moi errer sur les montagnes. Souffrez que j’aille chercher ma véritable patrie, Citheron, ce mont fatal que