tulé le Rendez-vous, avait paru dans la Revue des Deux Mondes, aux mois de septembre et octobre 1831, et le second ne s’y est ajouté, sous le titre de Souffrances inconnues, qu’en 1835, dans la troisième édition des Scènes de la Vie privée. Mais, auparavant, le troisième, intitulé À trente ans, avait paru dans la Revue de Paris au mois d’avril 1832 ; le quatrième : le Doigt de Dieu, dans la Revue de Paris également, au mois de mars 1831 ; le cinquième, intitulé : les Deux rencontres, en janvier de la même année ; et enfin, le sixième : la Vieillesse d’une mère, toujours dans la Revue de Paris, en 1832. Quelle espèce d’unité peut offrir un récit composé de la sorte, au hasard d’on ne sait quelles circonstances ? Et le miracle n’est-il pas qu’en de semblables conditions l’un des premiers souvenirs que le seul nom de Balzac évoque dans les mémoires, — à tort d’ailleurs, — ce soit celui de la Femme de Trente ans ?
Prenons maintenant les Employés : « Imprimé pour la première fois dans la Presse, du 1er au 14 juillet 1837, sous le titre de la Femme supérieure, ce roman, nous dit M. de Lovenjoul [Histoire des Œuvres de Balzac, 132, 133]