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Page:Brunetière - L’Évolution de la poésie lyrique en France au dix-neuvième siècle, t2, 1906.djvu/308

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TABLE DES MATIÈRES.
  

de leurs moyens ou de leurs procédés, ni dans la traduction en vers des résultats de la science. — Mais on peut la voir dans l’exactitude de la couleur locale ; — dans le natura de la description ; — et à ce propos digression sur le naturalisme et sur l’humanisme. — L’alliance de la science et de la poésie consiste surtout dans une manière de rejoindre par la poésie les derniers résultats de la science 
 163
III. 
De l’importance de la forme. — La poésie plastique. — Extension de l’idéal classique à de nouveaux sujets. En quoi les Poèmes barbares diffèrent de la Légende des siècles 
 179



QUATORZIÈME LEÇON
MM. de Heredia, Sully Prudhomme et François Coppée.


  
Sur la difficulté de choisir parmi les contemporains ceux dont la part dans l’évolution de notre poésie est dès à présent certaine 
 189
I. 
Leurs caraclères communs. — En tant qu’ayant subi ou recherché tous les mêmes influences ; — comme étant tous des artistes autant que des poètes ; — comme étant tous enfin plus ou moins naturalistes 
 192
II. 
L’œuvre de M. de Heredia. — La vérité de la couleur. — Le renouvellement du sonnet. — La poésie de M. Sully Prudhomme. — Le pessimisme. — L’évolution de la poésie intime, et comment elle correspond à une évolution de la sensibilité contemporaine. — La poésie philosophique. — L’œuvre de M. François Coppée. — Sa variété. — Son caractère bourgeois, populaire, et parisien. — L’ironie dans l’œuvre de M. Coppée 
 202
III. 
De quelques défauts des Parnassiens. — La tendance au prosaïsme. — Dangers de la superstition de la forme. — Manque de force et de profondeur 
 220