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Ces stries courbes sont coupées par de petites lignes longitudinales droites, ayant une direction à peu près parallèle à l’axe de la flèche. Vers le sommet de cette dernière les courbures larges et transversales prédominent sur les fibres longitudinales et déliées.[1]



Planche 31, t. I, p. 278.


1. Animal du nautile flambé, fixé dans sa coquille. La coquille a été dessinée d’après un échantillon qui fait partie de la collection de M. W. I. Broderip. (L’animal, d’après Owen. La coquille d’après nature.) n. Le pied, ou disque ligamenteux musculaire qui environne la tête.
p. Les tentacules digitaux sortis des gaines où ils sont contenus.
k. L’entonnoir.
a, b, c, d, e. Le siphon. On voit la membrane desséchée du siphon à nu en a, b, c, d ; en e, et dans toute la portion comprise à partir de ce point, cet organe est recouvert par une enveloppe ou fourreau d’une substance calcaire molle.
y, y. Colliers des cloisons transversales. Leur saillie se fait en arrière, et ils sont destinés à soutenir le siphon. Voy. t. I, page 282, note.
2. Mandibule cornée supérieure de l’animal, avec la pointe calcaire dure. (Owen.)
3. Mandibule cornée inférieure armée d’une semblable pointe calcaire. (Owen.)
  1. D’après Hermann Von Meyer (Palœologica, 1832, page 322) on a rencontré des réservoirs d’encre avec des coquitles internes de seiche (Onychotenthis) dans le lias de Culmbach et de Banz.