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trant la disposition irrégulière des faisceaux de vaisseaux. (Original.)
c’. Dessin amplifié d’un faisceau vasculaire en A, c. (Original.)
B, c’’ Section transversale, grossie d’un faisceau de vaisseaux du pétiole du Zamia horrida. (Original.)
Fig. 2. Section longitudinale d’une portion d’un pétiole agatisé du Cycadites microphyllus de Portland, amplifié quatre fois. Le duvet ou coton a est parfaitement conservé, et les tégumens du pétiole b, les vaisseaux longitudinaux e, et les vaisseaux gommeux f correspondent avec ceux de la fig. 1. (Original.)[1]
Fig. 3. Section transversale d’une portion des pétioles inférieurs dans la pl. 61, fig. 3, 6, c, amplifiés quatre fois. La disposition des faisceaux vasculaires est presque parallèle aux tégumens des pétioles[2].
d. Portion grossie du double cercle ligneux observé dans le bourgeon embryonnaire. Pl. 61, fig. 3 d.
d′. Portion beaucoup plus amplifiée du double cercle ligneux d.
c’. Section beaucoup plus grossie d’un des faisceaux vasculaires adjacens, c.
- ↑ M. Robert Brown a observé dans le tissu cellulaire d’un tronc silicifié de Cycadites des portions de calcédoine offrant la forme que présente la gomme extravasée dans les troncs des cycadées modernes. Il a aussi reconnu des vaisseaux spiraux dans les lames des cercles ligneux d’un tronc adulte de Cycadites fossiles et aussi dans le cercle lamelleux d’un bourgeon silicifié de la même plante, près de son origine.
- ↑ Un exemple familier d’une semblable disposition de faisceaux vasculaires passant dans le pétiole de la feuille peut se voir à la base des feuilles de marronnier d’Inde fraîchement tombées, on sur les cicatrices de la tige d’un chou après la chute des feuilles.
