Page:Buffon - Œuvres complètes, éd. Lanessan, 1884, tome IV, Partie 2.djvu/418

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malgré le témoignage de Mérolle, qu’il n’existe pas plus que le jumart provenant du taureau et de la jument. Il y a encore plus de disconvenance, plus de distance de nature du taureau à l’ânesse qu’à la jument, et le fait que j’ai rapporté de la nullité du produit de la jument avec le taureau s’applique de lui-même, et à plus forte raison suppose le défaut de produit dans l’union du taureau avec l’ânesse.