- 97 ~ pour luy et, pour l’autre, n’y plaignez pas vostre peine par votre génie et votre travail ; car cela vauldra plus que vous ne pensez. (Suivent quelques lignes très difficiles à déchiffrer, mais dont le contenu semble insignifiant). » de Peiresc. » A Aix, le 2i octobre 1628. 8me Lettre. Monsieur, » Je viens de recepvoir vostre lettre du 12 octobre, mais je n’en, ay pas veu le porteur que je feray chercher ; celle que vous m’aviez escripte auparavant vous en aurez eue la réponse avec 7 ou 8 minimes lettres de recommandations pour divers, amis. Si ce présent porteur ne part aujourd’hui, je prendray occasion, sur ce que m’escripvez maintenant, pour vous en envoyer encore quelques autres, si non ce sera par la première commodité, Dieu aydant. » Je n’ay pas receu le portrait de M. Rubens ni celluy de M. Gevartius et ne les dois pas attendre, tant que les passages de Lyon seront ainsy bouchés comme ils sont. Je pense que celluy de M. Gevartius est encore en mains de M. Tavernier, à Paris, ou de M. du Puy qui avoit appresté quelques livres à m’envoyer, quand la nouvelle du
