» 2° Une copie complète de l’acte d’anoblissement de P. P. Rubens, publié par M. Gachard ;
» 3° Les actes originaux d’anoblissement de la famille van Parys ;
» 4° Un grand nombre de documents concernant la famille Respani, et parmi ceux-ci une correspondance commerciale italienne, datant du XVIIe siècle et qui parait assez intéressante ;
« 5° Une quantité de papiers se rapportant à des familles alliées aux van Parys ;
» 6° La collection de registres de comptes que M. Goupy de Quabeck a offerte à l’État.
» Aucune lettre de Rubens n’a été découverte. »
M. le Président prie M. Génard de faire connaître le résultat de ses recherches au sujet des papiers délaissés par feu M. de Bergeyck, de Malines.
M. Génard. — Je tiens d’une personne bien informée de Malines, que M. de Bergeyck avait fait enterrer dans son jardin tous ses papiers de famille ; qu’après sa mort on a ouvert le puits dans lequel ils étaient enfouis, et qu’on a trouvé caisses et papiers tombés en pourriture et anéantis.
M. Gachard. — D’après tout cela il y a apparence qu’il faut renoncer à faire des recherches ultérieures en Belgique, du moins dans les documents des familles. Nous devons donc songer à recueillir ce qui existe dans les dépôts à l’étranger, et à y faire copier les pièces qui concernent Rubens.
Adoptant cet avis, l’assemblée se livre à un examen des premières directions à donner aux recherches ; des communications diverses sont faites à ce sujet. Elles sont consignées au procès-verbal.