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maîtresses qui dominent un ordre donné de connaissances. Ses principes, il les a exposés dans deux opuscules qui resteront comme le vade-mecum de quiconque veut faire des recherches d’histoire théâtrale le plus récent, c’est le Catalogue analytique sommaire qu’il a a pubhé d’abord dans le recueil Place au Théâtre, puis en une brochure indépendante, dont il n’est pas inutile de rappeler ici le titre complet
Catalogue analytique sommaire de la Collection théâtrale Rondel, suivi d’un Guide pratique à travers la Bibliographie théâtrale et d’une Chronologie des ouvrages d’information et de critique théâtrafe (Paris, Éditions BergerLevrault, 5, rue Auguste-Comte (VIe), 1932. Petit in-8° de X+50 pages, avec préface de M. Frantz Calot). A ce petit livre indispensable, il serait à souhaiter qu’on pût joindre un texte non moins important, celui de la conférence faite, le 4 décembre 1912, à l’Association des Bibliothécaires français. Cette conférence a paru dans le Bulletin de la Société d’histoire du Théâtre (janvier-mars 1913) et dans le recueil Bibliotheques, Livres et Librairies, 3e série (Paris, Marcel Rivière et C’e, 1914, in-8°, p. 225 à 268). Ce serait un service à rendre aux débutants, que de réimprimer pour eux cette excellente leçon d’initiation « La Bibliographie dramatique et les Collections de Théâtre en France ils y trouveraient, avec l’indication détaillée des principales sources imprimées de l’histoire théâtrale, l’étude critique des systèmes de classement.
Extrayons-en du moins quelques lignes, qui feront connaître la doctrine, et qui, plus encore, peindront t’homme ’< Laissons de côté le système classique, obligatoirement employé dans les grandes bibliothèques publiques où le théâtre n’occupe pas une place à part. Le lecteur s’y procure automatiquement le livre désiré et bien nettement
