Aller au contenu

Page:Bulletin de la société des historiens du théâtre, année 3, n°3-4.djvu/34

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

64

!MPRtMER!E A. BONTEMPS. UMOCE&

APPEL AUX CHERCHEURS

(Suite)

N. D. L. /?. Nous rappelons que cette rubrique réunit les vestiges de vie théâtrale que nous avons pu recueillir, dans des localités où cette vie théâtrale n’a jamais été étudiée. Notre but est de fournir des repefes qui serviraient de point de départ pour des recherches ncHM~e~. Nous serons toujours reconnaissants aux sociétés, revues, journaux, publications locales de tout genre qui voudront bien signaler ce qui dans notre bulletin concernera leur ville.

ÉPINAL. Le 28 avril 1788. Dufresny et Floricourt, directeurs associés, demandent à la municipalité de Colmar de leur rendre le privilège du théâtre; leur lettre est datée d’Ep!naL(Arch. mun. Colmar, Théâtre.)

ÉVREUX. Le 22 janvier 1783, Dalincourt, « régisseur de la Comédie d’Évreux en Normandie", propose au magistrat de Saint-Quentin «une bonne troupe en tous genres». (Lecoq, Histoire du théâtre de SaintQuentin, p. 65.)

FONTENAY-LE-COMTE. Le 26 juin 1756, la troupe d’Éloy Saucerote est maltraitée par les gentilshommes du ban de Poitou, venus au théâtre au sortir d’un banquet. Le chef de la troupe et deux comédiens furent blessés le matériel et les costumes pillés par les laquais la troupe reçut l’ordre de quitter la ville avant le lever du soleil. (H. Clouzot, Mém. de la Soc. des Antiquaires de l’Ouest, 1900, p. 319.) GRAY. Le Kain passe une partie du mois de septembre 1753 au camp de Monsieur le Duc de Randan à Gray en Franche-Comté ». (J.-J. Olivier, Henn-Lomxte’K’otn, p. 204.)