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Page:Bulletin de la société des historiens du théâtre, année 4, n°5-6.djvu/28

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est plus probable qu’on disposait d’un autre local, jeu de paume, salle d’auberge ou local corporafif, comme à Stras-.bourg et à Colmar. Il serait étrange que le théâtre eût disparu au temps des Rohan.

Il a paru préférable de ne pas traduire les noms de monnaies. D’après les indications de notre correspondant, 1 Pfund valait 4 livres de France.

Schilling valait 1/20 de Pfund, soit 4 sous. 
Gulden valait 2 livres. 
Pfennig valait 1/12 de schilling, soit 4 deniers. 

Il faudrait multipli.er tous ces chiffres par 25 cour avoir une idée approximative de la valeur actuelle: CHRONIQUE

AUTOGRAPHES. Relevé dans le catalogue de la librairie « Recherches Paris, 13, rue de Fournon, les importantes pièces documentaires suivantes

CHÊRUBOi pièce signée (Paris, 30 septembre 1830), 1 p. in-4" obl.; état de services comportant nom et prénoms, qualités, appintements, époque d’entrée en fonctions. DuBOC (Grand maréchal du Palais) lettre à Mme Gardel-Miller, danseuse (Paris, 28 décembre 1810) il lui annonce que l’empereur lui accorde, pour 1811, un traitement extraordinaire de 9.600 francs.

GouNOD lettre à un ami (12 février 1881), 3 p. in-12 à propos du Tribut de Zamora « Nous allons entrer dans la période des répétitions du soir & l’Opéra; et comme je dirige l’orchestre, je crains fort de n’être pas libre. Jusqu’à ce que ma pièce ait vu le jour, ou plutôt le gaz, je ’serai sur la brèche. »

GRÉTRY lettre à un ami (Paris, 2 Nivôse, an IX), 1 p. in-12; il y parle d’une affaire « dont s’occupe le citoyen Pougens~.