38. | Du bas de l’apophyse mastoïde à la crête occipitale | 0,200 |
39. | De la base d’une apophyse coronoïde à l’autre, antérieurement | 0,150 |
40. | D’un angle de la mâchoire inférieure à l’autre, postérieurement | 0,200 |
41. | D’une apophyse mastoïde à l’autre | 0,230 |
42. | Plus grande distance de l’arcade zygomatique au sphénoide | 0,130 |
43. | Plus grande largeur de l’ouverture des nazeaux | 0,090 |
44. | Plus grande hauteur de l’ouverture des nazeaux | 0,080 |
45. | De l’angle inférieur et antérieur de l’orbite à l’extrémité de la protubérance occipitale | 0,330 |
46. | De l’angle antérieur et inférieur de l’orbite à la racine de l’incision supérieure médiane | 0,200 |
47. | Plus petite largeur du front d’un orbite à l’autre | 0,105 |
48. | Hauteur depuis le bord de l’alvéole de la dernière molaire supérieure jusqu’à la naissance du front | 0,130 |
On remarquera que supérieurement il y a cinq incisives ; et qu’inférieurement il n’y en a que quatre ; mais le nombre normal paraît être de six, ce qui fait qu’on observe souvent de petites dents hors de place, qui percent antérieurement sous les autres, à la mâchoire inférieure surtout, car je ne l’ai pas observé à la supérieure. Inférieurement, la distance de la première molaire à la canine est de 0 m 065 ; supérieurement, de 0,052.
D’une pointe de canine à l’antre, il y a supérieurement 0 m 090, et inférieurement 0,080.
Quoique la tête et la mâchoire inférieure se raccordent assez bien, il est probable cependant qu’elles n’ont pas appartenu au même individu.
M. Boué achève la lecture du Mémoire commencé dans la précédente séance.
Ce mémoire est divisé en quatre parties ; dans la première, l’auteur soumet à M. Deshayes quelques doutes sur ses conclusions géologiques déduites d’observations conchyliologiques ; dans la seconde, il examine par quelles inductions le classement des diverses formations est entré petit à petit dans le domaine de la science ; dans la troisième, il compare les résultats de classification obtenus jusqu’ici par la méthode géologique et par la paléontologie, appliquées chacune isolément ; enfin, dans la quatrième, il oppose les unes aux autres les conséquences géogéniques