Je les comparerais eaux astres, fleurs divines, Qui brillent chaque nuit à la voûte des cieux, Et décrivent sans fin leur cercle harmonieux. ÿ Blais j’ai parlé des cieux z n’est-ce pas aux archanges Qu’il faudrait comparer ces modestes phalanges ?
Les moines Sur la terre, et les anges aux cieux, Disent le même chant, simple et mélodieux ;
Les chérubins là-haut, les moines iei même,
servent du même Dieu la majesté suprême“
Quasque simul reficit ingeniosa domus. Compare sideribus quîbus aula superna refu-lget, Aera quæ furvum noctizbus irradiant. Quwsemel impositam servant par sæcula legem, Quæ solitos cursus et numeros peragunt. Compara gyranti solemnÿter omnia cœlo ; Insuper angelicis compare virtutiibus. Qui semper Sanctus triplicata voce résultant : In terris monachi qudd modulantm“ idem, Sic cheruhim cœlo, moïraehi tell-ure maneñtest, ’ » l Uni dent unum serlvîtium Domino. V