Page:Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine, volume 8.djvu/466

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Que la peinture et 1’or- réjouissent les yeux, i > ’ Queue tous les autres sens trouvent aussi pâture. Dans ce salon, garni d’u ne riche tenture,

Dresse les lits, esclave, et fais-les assez mous

Pour qu’Qn ÿretende à trois cil seraient quatre époux ; » C’est la largeur qu’il faut à de bons lits de table ; Recouvrez bien (le fleurs ce parquet délectable :

’ Puis que vienne le Roi, de perles couronne,

Et tout vêtu derpouupre, au lit de pourpre orné.

Que la laineet le fin mêlent leurs. couleurs vives, Au manteau comme au lit de chacun des convives ; Qu’uvn vêtement paÎreil couvre les serviteurs ; h Que serviettes et nappe étalent leurs bleu-clients. Donne le pain léger, brillant comme le neige ;

Des galettes au miel, aligne le cortège.

Les coupes de cristal, les hassilms éclatants, Les plats divers rempli-s (le mets appétissants,

Rentre-les. Le bétail n’à Potable on en rraisse ; a.7 I. à

Sed, verbi causa, nos illi cunctanparemus

Commodé sollieiti, gratis quibus ipsc fruuttir,

Et videumus utrtlm sil ; luxuriance heatus ;

Nec Vcro tantum demus sibi dulcie gustu,

Sed paseenl : oculos etiam pulcherrimzi visu, Sensibus et ceteris. nrlsit sua- etiique voluptas z, Sterne, puer, lectos, lace terne perato quateru.is., — v Hunc poscit mnnerugp genialis forma triclinium, Cortinisque (lem-um pectique tapetibus orne,

Porque pavimentuigï redelentes spnrgite flores.

, Ipse mieans gemmis princeps, patère-que superbus

Accubet in lecto pretioso muriee tecto, Stragula convives, sen byssine vest-is ztdornet, l Turba mjnistïroruin cul-tu slt amicta decenti ; Poneiflehine neensas, mznlti-lia candide, mappas, Confeetum nivca profer similaginc penem,

liiellitas crieur solemnivter acide placentas,