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Les autres en ont trois, tous des plus délicats. On voit les petits pieds sïätaler sur leurs plots ; On nous srertseulement une côte bien maigre,

’ Etsi nous réclamons, avec un reproche aigre,

On nous envoie un os, de tous points decharné. Si quelquefois poui ; nous le jeûne est ordonné,

Nous avons pour menu (les œufs et du fromage,

Ou des fèves : des fruits, nous ignorons Pusago. Une fois chaque mois, si l’on sert du poisson,

Le crabe que fournit le riÿage, à foison

Uanguilie que nourrit notre mare bourbeuse, chargent insolemment notre table boiteuse :

La iner donne aux prévôts ses poissons ronds ou plats. Pour les prévois, pour nous ; tout autres sembles plats.

Si nous sentons le vin, c’est quand il tourne à Paigrc. Aux uns le pur nectar, aux autres le vinaigre !

Aussi, quand nous disons le D420 gratins,

Tous les coeurs sont aigris, et Dieu n’y gagne pas.

Si mutire V010, depuscar verbere crebro. Præpositis triplex, nobis sit portio simplex. Post tenuem costam carnem non suminlus assznn. Præpositi teneris triplicata sua fercula pullis.

Si jejunamus paueis quaudoque diebus, Suffieiut nobis permistis easeus ovis,

Aut faba, quæ ealidos cogit revireseere ficus. Si semel in nîaenso pisses contingat habefe, (Eammarus, anguillæ, tiberintrs, venin, cloue-æ Commaculant mensas, quosobyivit longs ; VGIJLISÈQS. Præpositi soli satientur pisce receti.

Altera præpositis, datur altéra partie nobis. Nos infliges vini ueseimus adores.

Præpositi vinum, nos degustumus acetuizn. Surgimus a nmeusa, sed non sine lHHPlnllPÎS i-ru. Huile quatitxægru silzis, irllumpxnolestia vontris. Longa failles stomaehi rare fit amica qiiieti.