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III.

Le Messager de Mort.

Les hiboux, nom hideux et (Ïallglllïä funeste, -N’ont jamais fait leur cri, Vi-rgile nous Yattostc, Que pour prophétiser des malheurs et des Inaux. Alpominant ee. cri, {tous les autres oisaux Ont ptoscrit pourîoujours eeàprophètes funèbres, Et c’est là la raison -qu’ils hantent les ténèbres Et qu’ils n’osent bouger quï} la faveur des nuits. S’ils voyaient en plein jour un seul de ces nnautîits, Les habitants de Pair‘, du bec et de la seiro, Le déchirant, bientôt auraient jonché la terre Des restes nmtîltés de lhugure fatal, ’ Justement condamné pouf Œainwr que le ma]. Tu mérites] trop bien aussi -qu’on te hem-lisse, « ’ 0 toi qui du hibou rempîis le triste oftloc,

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III. — Atl n-untinm mortis.

j » ’- * ’ ä ’ t — -Bubo

forum nomen, dirllflî mortaïlibusvt olnen, z Ut hîuro testatur, «du-m cantatufata minntiur. Illius cantum damnet genus (mm-e V-Dlallttl-fil, Atque pari voto seelns 110c fu-gat acre toto. Noctes êrgo colit, eum lu-cizs tempora nolit ; Noetibtls apparct, qnoniam si" 111cc voler-ct, Ïam caput invis-nm nmlto forêt ungtte rocislæan ’ nleunbraqtle cum plumis divisa quo sparszrqucæïltttnfis, Æarpere pennatiqcttpientibus onnnia vatis, Vatis täçm diräe, dignæ mnla fata sivltairo. Huic volucri foedæ nsimul, proeul ergo rocade, Chartæ funobris letoif, damnänäe tenehris,