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Page:Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine, volume 8.djvu/505

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III.

A Faustin.

Ton livre, que je feuillette, Présente souvent, Faustin, Plus d’une page lunette, Dont l’éclatant parchemin Est vierge. Or, pour moi, j’estime Ces pages-là tout autant Que les pages où ta rime Étale complaisamment Son bavardage insipide. Car, bien franchement, je tiens Tout un livre pour tout vide, Qui n’offre que rien ou riens.

III. — Ad Faustinuvn.

Dum partem, Faustine, tni perpendo lihelli, Qna vacuæ pellis pagina mute, jacot,

d’artem quæ loquittlr vaeuana nuagis æstimo, quam te ; Plena superväeuis" pagina namque vacat.

Unde Iibrunl totum vacuum sic colligo, cujus

Altera pars nugas, altéra nil retinet.