Page:Bulwer-Lytton - Pelham, 1874, tome I.djvu/167

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mes adieux. Russelton reçut mes compliments avec sa froideur habituelle, mais il poussa avec moi la politesse plus loin qu’il n’était habitué de le faire, car il me reconduisit jusqu’à la porte.

Au moment de la refermer il me rappela et me dit : « M. Pelham, quand vous repasserez par ici, venez me voir, et, comme vous allez être très-répandu dans le monde, veuillez vous informer de ce que l’on pense de ma manière de vivre. »