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CHAPITRE Vili. - LES FÊTES. 185 il est certain toutefois qu’il a composé le magnifique chant qui accompagne la scène de Bacchus et d’Ariane, dont le quinzième siècle nous envoie le refrain comme un mélancolique pressentiment de la courte splendeur de la Renaissance elle-méme : Quanto è bella giovinezza, Cbe sì fugge tuttavia] Chi vuol esser lieto, sia : Di domau nou c’è certezza.