Page:Burnouf - Dictionnaire classique sanscrit-français.djvu/235

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gep. gêpê 1. Aller: trembler. Cf. kêp.

��— 223 —

��^H

��îTt^ gôtra

��se mouvoir

��fnr 9(îyci (pf. ps. de g3B) qu'on peut ou quon doit chanter. — S. n. chant, canti- que. I) Cantique ou écrit en vers en l'hon- neur des Buddhas et des Bôdhisattwas, Bd.

��sêv.

��hê 1. Honorer, servir; cf.

��TI"^ g es. gêiê \\^. jîgêsê; etc. Cher- cher. [Cette racine est peut-être une sync. de gavés]. Cf. glês.

•^

TT^W gêsna et gft^it m. [g se; sfx. sriw) chanteur; || acteur. || Chantre du Sâmavêda.

7[c^ gêha n. forme pràkrite pour gvha, maison, demeure.

qêhanardin m. homme paresseux ou in- capable de s'occuper d'autre chose que du ménage.

gêhaçûra m. mms. • j

��ï[f^H géhin m. pour gr}i\

��* ÎM ^ ^- gâyâmi 1 ; p . /«(/a? ; f 1 . gâtdsmi ; f2. gâsyâmi; al. agâsam; o. gêyâsam. Ps. ^/?/e; pp. ^fif^. [On trouve aussi ^«n/i 3p. pi. pr. et gâyisé 2p. sg. vd.] Chanter : kdvyam un poëme, sâmcini des hymnes; indrdya en l'honneur d'Indra, Vd. || Appeler par des chants.

��TTtT^ g^rika n. {giri, rouge ou sanguine. || Or.

��sfx. ka) craie

��TfnX gwrêya n. [giri; sfx. e?/6i) bitume.

ïfî go m. [M. §40] bœuf. || Dans le Veda, tout ce qui est bon : ciel, rayon de lumière, lune, soleil, foudre. — gô m. et gu n. poils du corps. Il Eau. — S. f. go vache. || Bans le Vêda, tout ce qui est bon : la terre, la nuée, le sacriiice, la parole sainte, l'offran- de, la mère, etc. || OEil. || Flèche. || Point cardinal. || Gr. Poû;; lat. bos; angl. cow; dan. koe; suéd. ko; germ. kuh.

gôkaniaka m. pas de vache. || Esp. de plante, cf. gôKura.

gôkarna m. esp. d'antilope (lenîlgau?); || mulet; || esp. de serpent; serpent, en gén. Il Empan [du bout du pouce au bout du pe- tit doigt]. — gôkarni f. aletris hyacinthoides, bot.

gôkirâiikâ f. esp. d'oiseau [?le turdus sa- lica].

gôkilam. [gô terre] charrue. Pilon.

gôkîla m. mms.

��gôkula n. troupeau de bœufs ou de va- ches. Il Etable. |j Np. de pays dans la lé- gende de Krishna.

gôkulika a. louche. || Qui ne porte pas se- cours à une vache embourbée.

gôkrta n. [kf) bouse de vache.

gôxura m. et gôUura m. esp. de plante.

gogranfi m. étable à vaches, j] Bouse de vache desséchée.

gogrsH f. vache qui a vêlé une fois.

gagna m. (han) hôte [m à m. celui qui tue une vache].

gogrla n. le lait de la vache, c-à-d. l'eau du nuage, la pluie, Vd.

gôcaram. (c«r) pâturage, prairie; [| éten- due de terrain comprise dans des bornes déterminées. || Au iig. les objets des sens; Il en composition : qui est à la portée de, dans le champ de : dp ligue ara, vânagôcara qui est à la portée de la vue, de la flèche; 2mhca indriyagôéarâs les 5 ordres de per- ceptions.

gôjâgarika m. (jâgr) morelle épineuse. — N. chose heureuse, de bon augure.

gôjihwâ f. langue de bœuf ou hieracium, bot. '

ÏTfë gôdu m. (^gud) excroissance ou her- nie ombilicale.

�� ��^ gadumba m. pastèque. — F. cucumis madraspatanus, bot.

îTT^T^T gô'ddsmi f 1 . de guh.

ÎTTTÏÏT^ gônika n. courte - pointe de laine.

��ïttoT"

��gant f. {gun) haillon.

��Hlïï^ gônda a. [gôdu) qui a une excrois- sance ou une hernie ombilicale. — S. m. cf. gôdu. Il Np. des montagnards du Kimur.

IJTrT^ gôlama m. np. d'une ancienne famille védique de laquelle est issu le Bud- dha Çàkyamuni.

��ÎTtrTHsT gôlallaja m. des vaches.

��[gô) la meilleure

��^T^ gôtra m. {gô; trd) montagne. — S. f. gatrd terre; troupeau de vaches. — S. n. champ; forêt; route; richesses. || Famille, race, hgnée; || genre; espèce; || nom, ap- pellation. Il Connaissance inspirée de l'a- venir. Il Parasol.

g'traja m. [jan) parent [issu d'un ancêtre commun, par oppos. à bandu parent par al- liance].

gôtraUid m. surn. d'Indra, qui brise les montagnes [ou les nuages, cf. giiH] avec sa foudre.

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