Page:Busch - Découvertes d’un bibliophile.djvu/28

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« idiomate conscriptorum ; et quidem JURE MERITO, cum hæc lectio plerisque laicis valdè noxia esse possit, UT QUISQUE SATIS PERSPICIT[1]. »

IX. Un curieux exemple de subdistinction de probabilités se trouve p. 202 : Reg. 1. « Si post diligens examen probabiliùs appareat, verum votum emissum non fuisse, illud non obligat. Si autem notabiliter probabilius sit, emissum fuisse, obligat. Demùm si moraliter æque probabile sit votum emissum et non emissum fuisse, non obligat[2]. »

X. P. 207 : « Sunt vota, quorum dispensatio specialiter reservata est SUMMO PONTIFICI, scilicet vota quæcunque solemnia, et simplicia professionis religiosæ, et ex aliis simplicibus quinque, nempe VOTUM CASTITATIS PERPETUÆ, votum INGREDIENDI in religionem approbatam, vota trium pere-

  1. « La lecture de la Bible traduite en langue vulgaire est défendue ; elle l’est à juste titre, en ce que cette lecture peut être extrêmement nuisible à la plupart des laïques, comme chacun comprend aisémment. »
  2. Si après un examen attentif il paraît plus probable qu’un véritable vœu n’a pas été émis, celui-ci n’est pas obligatoire. Si cependant il est notablement plus probable qu’il a été émis, il oblige. Enfin, s’il est moralement d’une égale probabilité que le vœu a été émis ou qu’il ne l’a pas été, il n’oblige pas. »