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Le vent qui souffle de la vie
Te consume sans t’animer,
Et puisque la mort t’y convie,
Éteins-toi pour te rallumer !
Tu n’éclaires plus la demeure
Qui fut autrefois ta maison ;
Ne tremble pas, chère : c’est l’heure
Qui t’affranchit de la prison !
Rejoins le foyer de lumière
Parmi les astres glorieux