Page:Bussy Rabutin - Histoire amoureuse des Gaules, t. 1, éd. Boiteau, 1856.djvu/426

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Je ne l’aime qu’en apparence,
Et dans le fond du cœur je le hais fortement,
Comme un rival de mon amant.

Sçavoir ce que fait la présence et l’absence de ce qu’on aime.

Absent d’Iris, mon chagrin est extrême ;
La voir est mon plus grand bien :
Il n’est rien tel que d’être avecque ce qu’on aime ;
Tout le reste n’est rien.