Page:Bussy Rabutin - Histoire amoureuse des Gaules, t. 2, éd. Boiteau, 1857.djvu/112

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assez ; tu as bien plus que de l’estime : car, enfin, jamais l’estime n’a inspiré tout ce que tu viens de dire. — Eh bien ! reprit la Duchesse, croyez si vous voulez que quelque chose de plus tendre m’ait fait ressentir la passion du Légat avec plaisir. » Et sur ce chapitre elle prit sa belle humeur et conta cette affaire tout autant qu’il plut à Madame de l’entendre, et la Duchesse l’avoua avec certitude.