Page:Cœurderoy - Jours d'exil, tome II.djvu/271

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

aimer ces maisons blanches, ces flots dorés, ces pêcheurs basques en blouses rouges, leurs vieilles barques, leurs femmes robustes et leurs enfants hâlés. Je me disais que deux êtres aimants seraient bien là pendant les longues soirées de juin, occupés à enfoncer leurs pieds dans la mer, leurs regards dans les cieux !

Et je savais sur qui reposer ma pensée…