impressions sont reçues, tous les organes ne lui sont pas simplement analogues ; ils lui sont entièrement homogènes, du moins par leur partie sentante.
3°. Il est doué de la sensibilité la plus vive ; ou plutôt il est, sinon la source de celle de tous les autres, du moins le réservoir commun qui la renouvelle et l’entretient.
4°. Ses fonctions sont également importantes, soit comme imprimant la vie à toute l’économie animale, soit comme appartenant à l’organe propre de la pensée et de la volonté.
Ainsi, l’on voit que le système cérébral doit exercer constamment une puissance très-étendue sur toutes les parties de la machine vivante ; et cette puissance doit devenir d’autant plus remarquable, qu’il exerce ses fonctions avec plus d’énergie et d’activité.
Nous ne pouvons donc plus être embarrassés à déterminer le véritable sens de cette expression, Influence du moral sur le physique : nous voyons clairement qu’elle désigne cette même influence du système cérébral, comme organe de la pensée et de la volonté, sur les autres organes dont son