Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/650

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paré les causes finales, 133. — Il regardoit l’art de rendre la mort douce, comme le complément de celui d’en retarder l’époque, 313. — Ce qu’il a dit de la passion de l’amour, et explication de sa proposition, qu’aucun des grands hommes de l’antiquité ne fut amoureux, 400.

Baillou. Il a le premier observé que les purgatifs, inconsidérément employés, énervent et accablent rapidement les plus forts sujets, I, 473.

Baglivi. Ce qu’il a écrit sur la variété des moyens de curation, suivant les climats, II, 240.

Bellini. Expérience qu’il a faite sur un grain de jaune d’œuf pourri et avalé, II, 513.

Berlinghieri (Vacca). Expérience particulière sur le galvanisme, I, 421, note.

Bertholet. La science lui doit de belles découvertes et de précieux travaux, I, 426, note.

Bichat. Sur sa mort, I, préface, xxv, note. — Sur son Anatomie, 85, note.

Boerrhaave. Sensations étranges qu’il observe sur lui-même dans une maladie, où le systême nerveux se trouvoit singulièrement intéressé, I, 170. — Ce qu’il pensoit de la mort senile, 256. — Ce qu’il racontoit à ses disciples, sur la guérison du marasme, II, 421.

Bonnet (Charles). Il fut aussi grand naturaliste que grand métaphysicien, I, 38. — Sa prévention sur les causes finales, 133.

Bonteko. Grande vogue que sa Dissertation sur le Thé a donnée a son usage en Europe, II, 113.

Bordeu. Chez les sujets disposés à l’apoplexie, les extrémités, a dit Bordeu, forment une espère de conjuration contre la tête, etc. I, 300. — Ce qu’il a dit des grandes distributions du tissu cellulaire, et sa théorie sur certaines crises, II, 507.

Botal. Vogue qu’il avoit déjà donnée à la saignée, long-temps avant que la doctrine de la circulation du sang fut admise dans les écoles, II, 112, note

Boyer. Sur son Anatomie, I, 85, note.

Brown. Auteur d’un nouveau Systême de Médecine, qui mérite peu sa grande célébrité : il a eu raison de rejeter les idées trop généralement reçues, relativement à l’action du froid et de la chaleur sur l’économie animale, II, 23.

Brouzet. Faits qu’il rapporte dans son Éducation physique des Enfans, sur les soins à donner à ceux qui naissent chétifs et presque sans vie, I, 122.