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Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/651

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Buffon. Délire vaporeux voisin de la manie, à la suite d’une chasteté rigoureuse, I, 381. — Faits qu’il a recueillis, relatifs à l’influence des climats humides, II, 45. — Comment il explique les différences dans les genres, la structure et la direction des os du corps humain, 193. — Sa distinction de la matière morte et de la matière vivante, des corpuscules inorganiques et des corpuscules organisés, est absolument chimérique, 290.

C

Cappivaccius. Il conserva l’héritier d’une grande maison d’Italie, tombé dans le marasme, en le faisant coucher entre deux jeunes filles, II, 420.

Cardan. Il a dit que pour jouir de toutes ses facultés morales, il avoit besoin d’être malade, 1, 290, note.

Condillac. Il a développé et perfectionné la doctrine de Locke, I, préface, xv. — Comment il explique la sensibilité, ibid. xvij. — Ses assertions sur les déterminations instinctives, ibid. xviij. — Appréciation de sa Méthode parfaite, 37. — Explication de ce qu’il dit des langues, 71 ; et II, 271. — Examen de sa proposition sur les idées et les déterminations morales, I, 104. — Actions des animaux inexplicables d’après la théorie qu’il a établie, 130. — Son hypothèse sur le développement de la statue qu’il suppose animée, II, 382. — Il a travaillé à son Cours d’Étude, quelquefois en dormant, 479, note.

Condorcet. Son ouvrage sur l’application du calcul des probabilités aux questions et aux événemens moraux, I, préface, xij, note.

Coray. (M.) Très-savant helléniste ; hommage rendu à son savoir, II, 164, note.

Cullen. Il a le premier reconnu des rapports constans entre les songes et le délire, II, 436. — Il a remarqué que l’augmentation de sensibilité dans un organe, est souvent une suite de sa débilitation, 520.

Cuvier. On lui doit la découverte de la diversité des races animales, produites aux diverses époques de l’existence du globe, II, 305.

D

David. Il est dit dans le troisième livre des Rois, qu’il couchoit avec de jolies filles pour se réchauffer, II, 420.

Degérando. Cité t.1, préface, xvj, note.