Démocrite. Un des génies extraordinaires de la Grèce ancienne, I, 14. — Sa doctrine et ses travaux, 19. — Ses dissections, 20. — Son entrevue ei son entretien avec Hippocrate, 21.
Descartes. Services qu’il a rendus aux sciences ei à la raison humaine, I, 35.
Deyeux. La science lui doit de belles découvertes et de précieux travaux, I, 426, note.
Dubrueil. Ce qu’il a dit relativement aux différens degrés de force des organes dans les divers sujets, I, 60. — Son éloge, 62.
Dumas. Ce qu’il a dit de l’application que la chimie moderne a faite de la théorie de la combustion, à celle de la chaleur animale, I, 229, note. — Sa Physiologie citée, II, 40, note.
Épicure. Un des génies extraordinaires de l’ancienne Grèce. I, 14. — Ce qu’il a fait pour la philosophie, 32.
Fleurieu. Sa nouvelle division et sa nouvelle nomenclature des mers, citées II, 300, note.
Forestus. Il rapporte qu’un jeune Bolonais fut retiré de l’état de marasme, en passant les jours et les nuits auprès d’une nourrice de vingt ans, II, 421.
Formey. Exemple qu’il rapporte sur les effets de l’abus du sommeil, II, 481.
Franklin. Ce qu’il disait des fripons, l, préface, xxxij, note. — Ses expériences sur l’électricité, 416. — Observation qu’il a faite sur une espèce d’oiseau, dans les forêts de l’Amérique septentrionale, II, 310, note. — Étoit-il donc un impie, lorsqu’il prouvoit l’identité du fluide électrique et de la matière vivante ? 370. — Il croyoit avoir été plusieurs fois instruit en songe, de l’issue des affaires qui l’occupoient, 479.
Fray. Ses observations et expériences sur les productions microscopiques, et leurs résultats, IIH, 501.
Galien. Sur sa classification des tempéramens, l. 43. — Fait qu’il rapporte, et qui prouve l’instinct inné chez les animaux, pour trouver leur nourriture, I, 128. — Il dit que les médecins grecs avoient reconnu l’avantage, dans le traitement de la consomption, de faire teter une nourrice
