Aller au contenu

Page:Cahier - Quelque six mille proverbes, 1856.djvu/261

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
  1. La espada y la sortija, en cuya mano estan.
    La mesure de l’épée, comme de la bague, c’est la main qui la porte.
  2. Cuando el Español canta,
    O rabia, o no tiene blanca
    .
    Si tu vois l’Espagnol chantant,
    C’est qu’il enrage ou qu’il n’a point d’argent
    .
  3. Lo que te dijere el espejo,
    No te lo diran en consejo
    .
    Ton miroir te dira ce que bien des gens consultés ne te diront pas.
  4. A lo que puedes solo, no esperes a otro.
    Ce que tu peux faire seul, ne t’en repose pas sur autrui.
  5. Chica es la punta de la espina,
    Mas a quien duele, no la olvida
    .
    La pointe de l’épine est petite, mais il en souvient à qui la sent.
  6. Cadauno estornuda
    Como Dios le ayuda
    .
    Chacun de nous éternue
    Selon la force qu’il a reçue
    .
  7. Ni todos los que estudian son letrados,
    Ni todos los que van a la guerra, soldados
    .
    On n’est pas docteur pour avoir étudié,
    Ni soldat pour avoir été à l’armée
    .
  8. Estropezar y es caer, aventaja es de camino.
    Broncher sans tomber, avance la marche.