d’autres termes je veux savoir si, quand je me trouve
en présence de M. Pons Daumelas, pamphlétaire, et
qu’il se met dans mes jambes je dois le traiter comme
un camarade pamphlétaire ou l’appeler Monsieur le
Professeur. Et monsieur le Directeur. Et je veux savoir
si je puis distinguer entre le mépris que je puis avoir
pour ce Pons Daumelas et le respect que je dois avoir
pour M. Langlois.
L. — w). — En un mot nous ne voulons pas que nos maîtres jouent des deux mains, et à la fois sur les deux tables. Nous voulons que chaque homme joue une fois.
L. — x). — D’autant que M. Langlois, sous son propre nom, sait fort bien avoir une opinion littéraire. Ce qui fait presque trois rôles, et non plus seulement deux. M. Langlois historien, M. Langlois critique littéraire, et Pons Daumelas (M. Langlois) pamphlétaire. Cela ne fait qu’accroître la confusion.
Car M. Langlois lui-même et sous son nom a presque découvert un grand écrivain. Ou il a découvert presque un grand écrivain. Ce presque grand écrivain est un nommé Babut, qui a fait un livre évidemment énorme sur saint Martin, (celui de Tours). Dans cette même Revue Critique, numéro du 15 janvier 1913, M. Langlois écrit :
Les démonstrations dont ce livre est tramé…
Ce livre c’est le livre de M. Babut.
Les démonstrations dont ce livre est tramé sont d’une vigueur et d’une élégance rares. Qu’il y en ait, çà et là,