qui est Quatre ans à la cour de Saxe, (1904-1908),
par M. Guy Balignac, (pourquoi pas aussi Péguy
Balignac, vraiment ces amateurs ne se refusent rien),
et une grosse stupidité, et une heureuse répudiation. Je
pense que la stupidité est pour les idées d’hier, et la
répudiation pour la candidature de demain.
La stupidité tient en quelques lignes :
On y verra d’ailleurs aussi, dans les pages paradoxales où le génie grec est rabaissé, le vrai sens et toute la portée, pour un certain parti, de la campagne en faveur du latin, et par quelles équivoques on essaye de faire servir le culte de la Rome antique à la restauration de l’autorité d’une autre Rome. Tout ce morceau, d’une malice naïve et pleine d’illusion, est fort instructif et vraiment savoureux.
Ainsi, si je comprends bien, quand nous faisons du de Viris, c’est peut-être pour rétablir les États du pape ; et qui sait pour introduire frauduleusement en France des pièces du pape ; c’est du moins pour asseoir en France l’autorité du pape. Je ne soupçonnais pas que nous fussions si criminels. Je commence à me demander si contre le latin M. Lanson n’est pas un peu monomane, et comme dit M. Langlois un peu fou. (De sorte que, comme notre camarade Rudler aimait à le répéter, il y a le singe qui est quadrumane, l’homme qui est bimane, et M. Lanson qui serait monomane). J’aimerais assez que M. Lanson fût monomane, et un peu fou sur le latin. Car alors je pourrais lui rendre mon estime. Ce que je lui reprochais précisément c’était de ne pas être tout de même assez fou.
La répudiation est importante, car elle n’est rien moins que la répudiation du jauressisme, (et ainsi la répudiation de Herr, et du couple Herr-Lavisse, et ainsi