Qu’avez-vous à ajouter encore ?
Monseigneur !… monseigneur !… le voici qui arrive !
Allez-vous-en par la porte de cette chambre qui a une issue sur la rue.
Je pars ; mais comment nous quittons-nous ?
Comme vous voudrez.
Sans colère de votre part ?
Revenez me voir cette nuit ; je désire vous voir pour causer de Nice avec vous.
Ah ! Laura, combien vous vous abusez !
Ah ! combien vous m’affligez, don Félix !
Ah ! qu’il est bon d’habiter une maison qui a deux portes !
JOURNÉE DEUXIÈME.
Scène I.
Sois la bienvenue, Marcela.
Que je suis heureuse de te trouver chez toi, ma chère !
C’est moi au contraire qui le suis, puisque je reçois ta visite.
Loin de là ; quand tu sauras de quoi il s’agit, tu ne seras pas, je crois, trop contente.
Je ne serai pas contente, au moins, que je ne sache ce qui t’amène. — Approche des sièges, Celia. Nous serons mieux ici, plus tranquilles que dans la salle de réception.