Le parti est périlleux ; vous ne vous tirerez pas d’affaire, et tous deux nous nous en trouverons mal.
Eh bien ! voyons la lettre, et puis nous saurons ce que tous deux nous devons faire.
Je vous dirai plus tard ce qu’elle contient. Adieu.
Eh bien ! marchons, car je vous suis.
Vous ne pouvez pas sortir.
Que m’importe !
Mais réfléchissez…
Réfléchissez vous même.
Qu’y a-t-il donc ?
Rien, seigneur. (À part) Profitons de l’occasion.
De quoi s’agit-il ?
Don César vous le dira.
Oui, je le dirai, mais devant lui ; car je ne veux point que vous doutiez de ce que je dirai. Faites-le donc arrêter.
À quoi bon ? je croirai sans peine tout ce que vous me direz.
Cruelle position ! (Haut.) Laissez, que j’aille après lui.
Songez, je vous prie, que vous êtes mon prisonnier, et qu’il suffit que le prince ait eu cette condescendance, sans que..
Hélas !
Pourquoi donc voulez-vous sortir ?
Que dire ? Si je dis que don Félix est allé à un défi, ce ne serait pas bien… cependant il serait encore plus mal de souffrir qu’il y