Si c’est là, madame…
Quelle peine !
La cause…
Quel péril !
Pour laquelle…
Quelle douleur !
Vous m’avez appelé traître…
Quelle affreuse situation !
Vous avez eu raison, madame.
Hélas !
Car, sachez-le…
Quel malheur !
Plutôt que de vous le remettre…
Quel supplice !
Je suis prêt à subir mille morts.
Vous ne pourrez pas nous résister, traître !
Que faites-vous, Laura ?
J’ai vu et entendu ce qui se passait, et je suis accourue. Ne suffisait-il donc pas que son altesse désirât voir ce portrait, pour qu’aussitôt vous le lui donnassiez, cavalier malappris ? (Donnant le portrait à la Duchesse.) Tenez, madame.
Vous ne m’avez jamais tendu un plus grand service.
Laura, sans doute, aura voulu tout déclarer d’une fois.
Éclairez-moi, Laura. (Laura prend le flambeau.) Voyons un peu