SECONDE PARTIE.
La rigueur des principes développés dans la première partie demande que le calendrier de la République soit dégagé de tout ce qui n’appartient pas strictement à la division de l’année, ou à la position des astres, qui, par leur lumière, intéressent le plus les premiers besoins de l’homme, soit en secondant son travail, soit en en réglant les époques.
On voit, à la suite de cette instruction, l’annuaire, dans toute sa simplicité : les douze mois de l’année, à compter du 22 septembre 1793, les jours qui les composent depuis 1 jusqu’à 30[1].
Toutes les indications relatives aux mouvemens célestes qui peuvent le plus nous intéresser, sont marquées en divisions décimales du temps, ou en parties décimales du cercle[2]. Une table servira à faire la concordance entre les heures décimales et les anciennes.
Lorsqu’on a une date à exprimer, on n’a pas plus besoin de parler de décade que dans l’ancienne com-