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Page:Calloch - A Genoux.djvu/174

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Vous, marins, n’oubliez pas — Combien il vous a aimés ; — Il était toujours à travailler — Pour essayer d’améliorer votre condition.

Dans son cœur grande était votre place, — Lui-même était à moitié matelot ; — Jamais il ne songeait sans pitié, — À la tristesse de votre existence.

Jeunes gens et vous, enfants, — Souvenez-vous de lui vous aussi : — Si vous avez été élevés chrétiennement — C’est à lui que vous le devez.

Il y a à Groix trois écoles chrétiennes — Deux d’entre elles lui appartenaient ; — Grâce à lui, notre île — Est restée encore chrétienne.