Page:Calloch - A Genoux.djvu/232

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J’ai levé mes regards vers le ciel. Là-bas, là-bas bien loin sur les cimes des hêtres immenses, les rayons dorés du soleil jouent heureux avec les feuilles vertes. Et les feuilles vertes, le soleil d’or, le ciel doux me répondirent un mot seulement : Espoir !