Aller au contenu

Page:Calloch - A Genoux.djvu/97

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Alors Jésus : Ne crains pas, ô Jaïre. Elle sera sauvée. Crois seulement. »

Et ils entrèrent. Les pleureuses hurlaient, — Sanglotaient, se jetaient contre le lit funèbre, — faisaient du bruit. Jésus resta regarder : « — Cette fille n’est pas morte, dit-il. Elle dort.

« Dites à tous ceux-ci de sortir et de cesser — leurs cris. Jaïre obéit. — Alors le Fils de Dieu leva la main et s’approcha, — En commandant : « Talitha, cumi. — Jeune fille, lève-toi ! »

Et la jeune fille se leva et marcha

dans la cour, —
Sous le baiser du soleil couchant les fleurs se fermaient,