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une botte de paille trempée dans l’eau ; il y mit le feu ; la fumée qu’elle exhala fit tomber les insectes par pelotons.
La belle forêt de l’Aiguë couvre presque les deux tiers du canton de Rethondes ; elle se joint à celle de Compiegne.
L’Aisne se jette dans l’Oise au-dessous du village de Clairoix, canton de Coudun, traverse le canton de Rethondes, passe à Jauzy, à Rethondes, au Plessis-Brion : il y a dans chacun de ces villages un bac affermé au compte de la république.
On voit à Berneuil et à Jauzy de belles carrieres, d’où l’on tire une pierre tendre et blanche
Les maisons bâties depuis huit ans sont plus aérées et plus salubres.
Presque tous les habitants de Rethondes sont bûcherons, pauvres et mal-aisés. On assure qu’ils se battent volontiers à coups de couteau ; ils courent sur leur adversaire en criant, leu JVarou, et le tuent s’ils le peuvent.
