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l’exécrable commerce d’esclaves, à faire connaître la désolation qu’il laisse derrière lui, à montrer la possibilité d’ouvrir et de civiliser l’Afrique.
En outre, depuis que je suis revenu, mon temps a été fort occupé, et si je n’avais pas reçu la cordiale assistance de personnes obligeantes, peut-être ce volume n’aurait-il jamais vu le jour.
La carte qui l’accompagne a été faite également d’après mes notes, mes tracés, mes nombreuses observations ; elle a été préparée avec le plus grand soin, par M. Turner, de la Société royale de géographie ; et c’est en toute confiance que je la donne comme un guide sur lequel on peut compter pour suivre mon voyage de la côte orientale d’Afrique à la côte occidentale.
VERNEY LOVETT CAMERON.
Décembre 1876.