Cette page a été validée par deux contributeurs.
Je devais ce chaleureux accueil à M. Cauchoix, ancien officier de la marine française, établi à Benguéla. Il avait appris la veille, entre dix et onze heures du soir, que j’arrivais, et immédiatement il était venu à ma rencontre.
Ses paniers étaient pleins de provisions, qu’il commença par nous distribuer. Puis on se remit en marche. Peu de temps après nous étions chez lui, à Catombéla, où il possédait un établissement.