Page:Camille Allary - Au pays des cigales - nouvelles et contes.djvu/50

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livide sur son matelas crevé, et là-bas, bien loin, le chardonneret qui doit conduire sa jeune âme dans les prairies paisibles, heureux de sa liberté retrouvée, en pépiant gaiement, vole à tire d’ailes, au dessus des vergers d’oliviers, dans les premières ombres du crépuscule.