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Page:Candeille - Catherine ou la belle fermiere - 1793 Maradan.djvu/42

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Fierval.

Tais-toi.

Élise.

Ne rentrons-nous pas ?

la Marquise.

Ah, oui, nos toilettes, tu as raison. — Adieu ; Catherine… — À propos, c’eſt demain la fête d’Eliſe, nous la célébrerons ce ſoir, on vous verra au château.

Catherine.

Aucun de nous, Madame, ne laissera sûrement échapper cette occasion d’offrir à Mademoiselle l’hommage de son respect et de son attachement.

Élise, attendrie.

Je vous suis bien obligée, Catherine.

(À part, en s’en allant.)

La singulière femme !

la Marquise. (Elle sort avec sa fille.)

Adieu, adieu, Catherine : à tantôt.

Catherine.

À tantôt, Mesdames. Allons, Fanchette. (Elle partage avec Fanchette ce qui reste à empotter, et prend le chemin de sa ferme.)

Fierval, qui est resté.

Catherine ! belle Catherine !… Ne pourrais-je vous dire ?…