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Page:Candeille - Catherine ou la belle fermiere - 1793 Maradan.djvu/76

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de certains traits… Je reviendrai, je reviendrai souvent à votre ferme… vous le voulez bien, n’es-ce pas ?… Adieu, adieu Madame. (À Lussan.) Bonjour, Monsieur. — (À Henry.) Donnez-moi votre bras, mon garçon. (Il va pour sortir et rencontre Fierval.) Qu’est-ce c’est que ce Monsieur ?

Catherine, étonnée.

C’est M. de Fierval !

Lussan, à part.

Fierval !… Je suis perdu !



Scène VII.

LES PRÉCÉDENS, FIERVAL.

(Au moment où Fierval commence à parler, Henry et Fanchette se rapprochent, d’un air inquiet.)

Fierval.

Je viens savoir si ce coquin d’Henry… (Il passe devant Boniface pour aller à Catherine, et voit Lussan.) Pardon, Monsieur. — Ah, ah !… Mais non… Si fait… Eh, parbleu, c’eſt lui, c’est Lussan.

Catherine et Boniface.

Lussan !

Fierval, riant.

Que faites-vous donc ici ?

Lussan, d’un air calme.

J’attends, Monsieur, que vous m’ayez appris ce que vous venez y faire vous-même.